- Maison d'édition: Les herbes rouges
Au fil de quarante-sept lettres, un vieil homme à bout de forces s’emploie à rassembler ici-bas les fragments de sa vie à la manière des anciens astronomes qui regroupaient là-haut les étoiles en constellations et leur prêtaient le nom de leurs légendes. Des mots se déposent sur la page comme des lueurs dans les hauteurs de la nuit et dessinent peu à peu une nouvelle carte du ciel. C’est soudain toute une vie qui défile entre vos mains. Vous êtes-vous déjà demandé ce qui passera sous vos yeux au moment de rendre le dernier souffle?
Dans ce testament d’un vieil homme à un homme encore jeune, Alain Bernard Marchand nous rappelle que la vie ne vaut que par les quelques images qu’elle éveille en nous et nous livre une réflexion envoûtante sur l’écriture.
Dossier de presse
Il est des écrivains qui gardent en eux des mots qu’ils reprennent dans leurs livres, et qui nous font voir le monde de si haut que nous nous sentons légers. Lettres d’un cracheur d’étoiles est à lire et à relire. Pour la densité poétique et la mystérieuse alchimie du verbe et des sens. » — Suzanne Giguère, Le Devoir
Le roman d’Alain Bernard Marchand ne ressemble à rien de ce qui se publie dans ce genre littéraire. Il adopte une approche on ne peut plus originale qui a le mérite de nous démontrer à quel point « le jour qui va entre dans la mémoire et éclaire le jour qui vient ». — Paul-François Sylvestre, L’Express
Bref, c’est par une brillante réflexion sur le passage du temps entrevu comme un cycle de mort et de renaissance sans fin que s’inscrit le dernier-né de Marchand dans la suite de son œuvre. » — Claudia Labrosse, Liaison
Dans les Lettres d’un cracheur d’étoiles, Alain Bernard Marchand trouve le moyen d’innover sans faire aucune concession au formalisme de naguère. (…) Petit livre du rien, d’un rien égal à tout. Il affirme que la merveille existe, et que l’écrivain « sera peut-être votre légende ». — André Brochu, Lettres québécoises